1. Aigné. Vitraux de 1930 dans les neuf fenêtres, dont l'un, au-dessus de l'entrée principale, représente la conversion de Saint Hubert. Église de l'Assomption du XIIème siècle
2. Challes. Fresques (peintures polychromes et enduit de chaux) de fin XVIème siècle : décor végétal sur le pignon du chœur. La légende de St Hubert. détail 1. Église Saint Laurent
3. Challes. La légende de St Hubert. détail 2. Église Saint Laurent
4. Coulongé. Vitrail offert en 1870 par le comte de Battines, châtelain des Aiguebelles et maire de Coulongé, représentant le Miracle de Saint Hubert. Hubert se lance à la poursuite d'un cerf le jour du vendredi saint ; rattrapant le cerf, il vit un crucifix entre ses bois et se convertit. Chapelle Saint Hubert
5. Luché Pringé. Peinture murale grandeur nature (XVème siècle): légende de Saint Hubert. Saint-Hubert était si peu dévot qu'il se lança à la poursuite d'un cerf le jour du Vendredi Saint. Rattrapant le cerf, il vit un crucifix entre ses bois et se convertit. Église Notre dame de Pringé.
6. Vouvray sur Loir. Vision de Saint Hubert. Le groupe prend place sous l'arcade unique d'un retable. Le saint est traité en ronde-bosse. Les autres éléments (animaux, végétaux) sont traités en relief. le groupe fut commandé en 1658 à Préhoux, sculpteur au Mans. Il s'agit probablement de Julien Préhoust, mentionné en 1657 dans l'église des jacobins du Mans. La comparaison de cet ensemble, caractérisé par sa facture naïve à l'exception du visage du saint, avec le groupe de la Sainte Famille conservé dans la même église suggère l'intervention d'autres sculpteurs, peut-être issus de l'atelier de l'artiste. Le groupe est du même auteur que la Sainte Famille dans le bras opposé du transept. La polychromie date du XIXème ou du début du XXème siècle. Église paroissiale Saint-Martin