1. Auvers le Hamon. Les peinture murales de la nef sont du XVIème siècle. Elles sont altérées du fait de l'humidité importante présente dans le mur. Elles sont recouvertes en partie d'un badigeon. Saint Eutrope et Saint Cénéré, au registre inférieur. Église Saint Pierre.
2. Cogners. Saint Eutrope. La mitre, les lisières et le fermoir de la chape portent un décor en bas-relief. La croix est en bois. Cette sculpture est probablement l'œuvre d'un atelier manceau actif à la fin du XVIIème siècle ou dans la première moitié du XVIIIème. Elle pourrait provenir du couvent des Camaldules de Bessé-sur-Braye, dont la paroisse avait acquis le retable en 1767. Le repeint pourrait être l'œuvre du restaurateur Bougler, qui a signé son intervention sur le retable en 1875. Église paroissiale Saint-Pierre-et-Saint-Paul.
3. Conlie. Saint Eutrope du XIIème ou XIVème siècle. Patron de la paroisse, il est représenté ici la tête tranchée, comme St Jean Baptiste. Chapelle de Verniette
4. Conlie. Le martyr de Saint Jean-Baptiste et Saint Eutrope, patron de la paroisse. Chapelle de Verniette.
5. Juillé. Saint Eutrope. Le saint est accompagné par un petit personnage à ses pieds, modelé à part et relié ensuite à la terrasse. Le décor des mitres, des lisières et des fermoirs des chapes est traité en bas-relief. Cette sculpture est très probablement l'œuvre d'un atelier manceau actif au XVIIème siècle. Elle est dans un retable construit en 1664 par l'architecte d'Argentan Godard, suivant une disposition qui semble d'origine. La polychromie date du XIXème siècle. Église paroissiale Saint-Julien.
6. Meurcé. Saint Eutrope. Le décor des mitres, des lisières et des fermoirs des chapes est traité en bas-relief. Les crosses sont en bois. Cette sculpture est très probablement l'œuvre d'un atelier manceau actif au XVIIème siècle. Elle est disposée dans un retable construit en 1676 par l'architecte et sculpteur manceau Nicolas Mongendre. D 'après les termes du marché rapporté par l'abbé Esnault, il était convenu de conserver les "anciennes statues", qui pourraient concerner cette dernière. La différence de traitement avec celui de la Vierge de la niche supérieure ainsi que du relief de la contretable, attribué d'après le même document à Mongendre, interdit d'y voir l'œuvre de cet artiste. La polychromie et les inscriptions datent du XIXème siècle. Église paroissiale Notre-Dame de l'Assomption.
7. Moncé en saosnois. Saint Eutrope de Coeffeteau (1719). Église Saint Pierre Saint Paul