1. Précigné. Clé d'ogive, avec un Saint Pierre peint tenant une énorme clé. Église Saint Pierre.
2. Requeil. Vitrail de Saint Pierre, restauré en 1920, formé de 4 motifs illustrant la vie de Saint Pierre : l’appel des 4 premiers disciples sur le bord du lac de Tibériade, la confession de Saint Pierre, l’annonce de la passion, celle de la mort de Jésus. Église Saint Pierre.
3. Roëzé sur Sarthe. Saint Pierre. La clef de Saint Pierre et l'épée de Saint Paul étaient probablement en bois. Ces sculptures sont très certainement l'œuvre d'un atelier manceau actif au XVIIème siècle ou au début du XVIIIème. Le repeint date du XIXème ou du début du XXème siècle. Église paroissiale Saint-Pierre
4. Roullée. Saint Pierre assis et tenant une croix. Église de la Trinité
5. Sarcé. Saint Pierre. Pour des raisons stylistiques (traitement anatomique, attitude, visage) et techniques (trous d'évent, couleur de la terre), cette œuvre peut être attribuée au sculpteur fléchois Nicolas I Bouteiller, actif entre 1650 environ et 1696, année de sa mort. Elle présente notamment quelques similitudes avec une autre statue de Saint Pierre, dans l'église de Bazouges-sur-le Loir, œuvre du même auteur en 1673. Cette statue formait peut-être initialement un ensemble avec les statues de six autres apôtres conservées dans l'église et le groupe de Jésus présenté au peuple. La situation actuelle de la statue dans la nef date probablement de 1856, époque vers laquelle fut entièrement remanié le décor de l'église. La polychromie date sans doute de cette époque. Église paroissiale Saint-Martin.
6. Sablé. Verrières de 1495, replacées dans l'église en 1895 et 1911, Pendant les guerres de de religion, les vitraux de ND en l'Ile sont mutilés à coups de pierre et d'arquebuse. Saint Pierre. Notre Dame de l'Ile
7. Saint Jean de la Motte. Saint Pierre. Les lanières des sandales sont en relief. La clef est en métal. Pour des raisons stylistiques (drapé, plis en queue d'aronde, traitement anatomique, attitude), cette œuvre peut être attribuée au sculpteur fléchois Nicolas I Bouteiller, actif entre 1650 environ et 1696, année de sa mort. Elle est de la même main que les deux autres statues du retable, ainsi que le Saint-Jean présenté dans le chœur. La polychromie et la restauration datent du XIXème ou du début du XXème siècle. Église paroissiale Saint-Jean-Baptiste.