La vie des Saints des église de sarthe

Saint Pierre 2


 

1. Maresché. Saint Pierre. Les lanières des sandales étaient primitivement peintes. Cette statue correspond très probablement aux travaux du sculpteur manceau Étienne Doudieux dans l'église en 1696. Sa facture n'est pas sans rapport avec celle su Saint Pierre de l'église de Loué, exécutée par l'artiste en 1666. Initialement, la sculpture faisait certainement pendant à la statue de Sainte Marguerite conservée dans la même église. La polychromie et la restauration datent du XXème siècle. Église paroissiale Saint-Martin.
2. Meurcé.
Saint Pierre. Les lanières des sandales étaient peintes. La clef est en fer. Cette sculpture est probablement l'œuvre d'un atelier manceau actif dans la seconde moitié du XVIIème siècle. Elle est de la même main que le Saint André disposé en pendant dans le retable. Le repeint date du XIXème siècle ou du début du XXème. Église paroissiale Notre-Dame de l'Assomption.
3. Moncé en Saosnois.
Statue en pierre de Saint Pierre (Coeffeteau - 1719). Église paroissiale Saint-Pierre-et-Saint-Paul.
4. Moncé en Saosnois. Buste de
Saint Pierre. Cette statue est l'œuvre d'un atelier manceau actif au XVIIème siècle. Elle pourrait être de la même main que les statues des Saints Pierre et Paul de l'église de Terrehault. Église paroissiale Saint-Pierre-et-Saint-Paul.
5. Moncé en Saosnois.
Martyre de Saint Pierre (peintre-sculpteur: Coeffeteau - 1719, repeint en 1865). Cette scène de décapitation illustre les mœurs romaines de l'époque : on ne crucifie pas un citoyen romain sous Néron. Inscription : "la tête de Saint Paul tranchée pour le Christ n'éprouve pas de douleur". Église Saint Pierre Saint Paul.
6. Neuvillalais. Saint Pierre.
Cette sculpture est probablement l'œuvre d'un atelier manceau actif autour de 1600. Sa composition est plus ou moins librement inspirée d'une statue de Saint Paul dans l'église de la Couture du Mans, œuvre de Germain Pilon en 1570. La polychromie date du XIXème ou du début du XXème siècle. Église paroissiale Saint-Pierre.
7. Neuvy en Champagne. Tableau de Saint Pierre
(transept sud - XVIIème siècle)). Église Saint Julien le pauvre


1. Nogent le Bernard. Saint Pierre. Les lanières des sandales étaient primitivement peintes. Le traitement anatomique et le drapé incitent à attribuer cette statue au sculpteur manceau Étienne Doudieux, actif entre les années 1660 et 1706, date de sa mort. Sa composition et son traitement ne sont pas sans rappeler le Saint Pierre de Loué, signé par l'artiste et daté de 1666. La polychromie, de même que l'inscription, datent du XIXème ou du début du XXème siècle. Église paroissiale Saint-Jouin.
2, 3 et 4. Parcé.
Saint Pierre accueillant les enfants de Parcé sur Sarthe au Paradis et bénissant le village, un ange tenant la tiare et les clefs, l'autre un phylactère sur lequel est écrit "Ouvrez aux morts les portes du ciel" (baie occidentale). A la base du vitrail, vue panoramique de Parcé sur Sarthe en 1900. L'église de Parcé, alors en construction, y figure avec les deux clochers, initialement prévus (3). Le peintre Albert Maignan est l'auteur des cartons de ce vitrail réalisé par le maître - verrier Henri Carot - 1903. Église Saint Martin.
5. Parigné l'Evêque.
Saint Pierre. La sculpture fut commandée en 1608 au sculpteur manceau Matthieu Dionise. La polychromie date du XIXème siècle. Église paroissiale Notre-Dame.
6. Peray. Statue de Saint Pierre en pierre polychrome du XVème siècle. Église Saint Jouin
7. Pirmil.
Statue de Saint Pierre en pierre du XIIIème siècle. Église Saint Jouin
8. Pruillé l'Eguillé.
Saint Pierre. Tout comme la statue de Saint Jean-Baptiste conservée dans la même église, cette sculpture peut être rapprochée de la production du sculpteur manceau Matthieu Dionise, actif autour de 1600. Sa composition (attitude, position des bras, drapé) s'inspire partiellement d'une statue de Saint Pierre exécutée en 1570 par Germain Pilon pour l'église de la Couture au Mans. Elle présente pour cette raison beaucoup de traits communs avec une autre statue de Saint Pierre conservée à Bouër, bien qu'elle ne semble pas de la même main. La polychromie date sans doute du XIXème siècle. Église paroissiale Saint-Christophe.
9. Précigné.
Saint Pierre, vitrail de 1903. Église Saint Pierre.


1. Précigné. Clé d'ogive, avec un Saint Pierre peint tenant une énorme clé. Église Saint Pierre.
2. Requeil. Vitrail de Saint Pierre, restauré en 1920, formé de 4 motifs illustrant la vie de Saint Pierre : l’appel des 4 premiers disciples sur le bord du lac de Tibériade, la confession de Saint Pierre, l’annonce de la passion, celle de la mort de Jésus. Église Saint Pierre.
3. Roëzé sur Sarthe.
Saint Pierre. La clef de Saint Pierre et l'épée de Saint Paul étaient probablement en bois. Ces sculptures sont très certainement l'œuvre d'un atelier manceau actif au XVIIème siècle ou au début du XVIIIème. Le repeint date du XIXème ou du début du XXème siècle. Église paroissiale Saint-Pierre
4. Roullée. Saint Pierre
assis et tenant une croix. Église de la Trinité
5. Sarcé.
Saint Pierre. Pour des raisons stylistiques (traitement anatomique, attitude, visage) et techniques (trous d'évent, couleur de la terre), cette œuvre peut être attribuée au sculpteur fléchois Nicolas I Bouteiller, actif entre 1650 environ et 1696, année de sa mort. Elle présente notamment quelques similitudes avec une autre statue de Saint Pierre, dans l'église de Bazouges-sur-le Loir, œuvre du même auteur en 1673. Cette statue formait peut-être initialement un ensemble avec les statues de six autres apôtres conservées dans l'église et le groupe de Jésus présenté au peuple. La situation actuelle de la statue dans la nef date probablement de 1856, époque vers laquelle fut entièrement remanié le décor de l'église. La polychromie date sans doute de cette époque. Église paroissiale Saint-Martin.
6. Sablé.
Verrières de 1495, replacées dans l'église en 1895 et 1911, Pendant les guerres de de religion, les vitraux de ND en l'Ile sont mutilés à coups de pierre et d'arquebuse. Saint Pierre. Notre Dame de l'Ile
7. Saint Jean de la Motte. Saint Pierre.
Les lanières des sandales sont en relief. La clef est en métal. Pour des raisons stylistiques (drapé, plis en queue d'aronde, traitement anatomique, attitude), cette œuvre peut être attribuée au sculpteur fléchois Nicolas I Bouteiller, actif entre 1650 environ et 1696, année de sa mort. Elle est de la même main que les deux autres statues du retable, ainsi que le Saint-Jean présenté dans le chœur. La polychromie et la restauration datent du XIXème ou du début du XXème siècle. Église paroissiale Saint-Jean-Baptiste.

 

 

1. Saint Mars de Locquenay. Fresques du XVème siècle ornant les murs sud et nord de la nef, s'agissant de panneaux verticaux avec des personnages, fermés dans leur partie supérieure par une frise d'entrelacs végétaux et, dans leur partie inférieure, par une frise de bandes obliques. Crucifiement de Saint Pierre, tête en bas. Église Saint Médard.
2. Saint Pavace.
Saint Pierre. Les lanières des sandales sont peintes. La clef est en fer. Cette sculpture est l'œuvre d'un atelier manceau actif au XVIIème siècle. Le repeint date du XIXème siècle. Église paroissiale Saint-Pavace.
3. Saint Pierre de Chevillé. Saint Pierre
et Saint Paul (1861). Église de Saint Pierre de Chevillé.
4. Sargé lès le Mans.
Saint Pierre (Doudieux - XVIIème siècle). Les lanières des sandales étaient peintes. De nombreuses parentés stylistiques (drapé et notamment plis soufflés du bas du manteau, attitude, traitement anatomique) incitent à attribuer cette œuvre au sculpteur manceau Étienne Doudieux, actif entre les années 1660 et 1706, date de sa mort. En outre, l'inventaire après décès de l'artiste fait état de travaux entrepris par celui-ci dans l'église de Sargé. La polychromie fut refaite vers 1879 par le peintre manceau Louis Renouard. Église Saint Aubin.
5. Ségrie. Remise des clefs à Saint Pierre, vitrail de 1875. Église Notre Dame
6. Sillé le Guillaume. Saint Pierre de 1960. Collégiale Notre Dame de l'Assomption.
7. Solesmes.


1. Téloché. Saint Pierre. Le traitement anatomique et le drapé incitent à attribuer ces statues au sculpteur manceau Étienne Doudieux, actif entre les années 1660 et 1706, date de sa mort. Par ailleurs, celles-ci sont fortement influencées par les deux statues en marbre de Saint Pierre et de Saint Paul dans l'église de la Couture au Mans, exécutées par Germain Pilon en 1570. La polychromie date du XIXème ou du XXème siècle. Église paroissiale Saint-Pierre-et-Saint-Paul.
2. Terrehault.
Saint Pierre. La clef de Saint Pierre était probablement en bois. Ces sculptures (Saint Pierre et Saint Paul) sont probablement l'œuvre d'un atelier manceau actif au XVIIème siècle. La composition de la statue de Saint Paul s'inspire partiellement de celle du Saint Paul en marbre exécuté en 1570 par Germain Pilon pour l'église de la Couture du Mans. Les deux statues pourraient être de la même main qu'une statue de Saint Pierre conservée dans l'église de Moncé-en-Saosnois. La polychromie date du XIXème siècle. Église paroissiale Saint-Pierre-et-Saint-Paul.
3. Torcé en Vallée.
Saint Pierre. Cette sculpture est très probablement l'œuvre d'un sculpteur manceau actif autour de 1600. La polychromie date sans doute du XIXème siècle. Église paroissiale de la Nativité de la Vierge.
4. Vallon sur Gée. Saint Pierre. Les lanières des sandales sont peintes. La clef était probablement en bois. Cette sculpture est très probablement l'œuvre d'un atelier manceau actif au XVIIème siècle. Sa facture est très proche d'une autre statue de Saint Pierre conservée dans l'église de Doucelles, au point d'être sans doute l'œuvre du même auteur. Église paroissiale Saint-Pierre.
5. Vibraye. Saint PierreÉglise Saint Jean Baptiste.
6. Voivres Lès le Mans.
Saint Pierre. Les lanières des sandales étaient peintes. La clef est en fer. Cette sculpture est très certainement l'œuvre d'un atelier manceau actif au XVIIème siècle. Le repeint date du XIXème ou du début du XXème siècle. Église paroissiale Saint Étienne.