1. Marçon. Saint Jean Baptiste du XVIIème siècle. La croix est en bois. Cette sculpture est probablement l'œuvre d'un atelier manceau actif au XVIIème siècle. Le repeint date sans doute du XIXème siècle. Église Notre Dame
2. Mareil en Champagne. Saint Jean Baptiste. La croix est en bois. Terre ocre clair. Cette sculpture est probablement l'œuvre d'un atelier manceau actif dans la première moitié du XVIIème siècle. Le repeint date du XIXème siècle. Église paroissiale Saint-Pierre.
3. Moncé en Belin. Saint Jean-Baptiste du XVIIème siècle. Cette sculpture est probablement l'œuvre d'un atelier manceau actif au XVIIème siècle. Le repeint date du XIXème ou du début du XXème siècle.
Église Saint Étienne
4 et 5. Moncé en saosnois. Saint Jean Baptiste. Ce bas-relief est l'œuvre d'un atelier manceau actif au XVIIème siècle. Le plateau, dans lequel est déposée le chef de Saint Jean-Baptiste, est placé sur un autel dont la face est ornée d'une tête d'ange, d'une chute et de guirlandes de fruits. Inscription sur le pourtour du relief : NON TAM MORTI NECESSITATE QUAM HORRORE LUXURIAE. AMBROS. Église Saint Pierre Saint Paul
6. Parigné l'Evêque. Saint Jean Baptiste (Delabarre Gervais I ?, sculpteur). La croix est en bois. Selon Frédéric Lemeunier, elle pourrait provenir du prieuré de Loudon, à Parigné-l'Evêque, qui était placé sous le vocable de Saint Jean-Baptiste. Contrairement à ce qui a été parfois avancé, et comme l'a signalé Lemeunier, cette statue ne peut correspondre au Saint Jean exécuté en 1637 par le Manceau Jacques Letort, qui faisait partie d'un groupe du Calvaire. Selon Françoise de la Moureyre, la sculpture pourrait être attribuée au sculpteur manceau Gervais I Delabarre qui, dans l'église, avait participé à certains travaux de sculpture (la Vierge à l'Enfant de Dionise, confection d'un moule pour un ange en cuivre) et à qui est attribué le groupe de l'Éducation de la Vierge conservé dans le même édifice. Elle manifeste par ailleurs certains traits commun (le modelé du visage, notamment) avec le groupe de l'Adoration des bergers de Savigné-l'Evêque. La polychromie date du XIXème siècle. Église paroissiale Notre-Dame
7. Pontvallain. A droite, du côté de la sacristie, bas reliefs : à droite : la décollation de St Jean Baptiste. Chapelle de la Faigne de 1827
8. Pruillé l'Eguillé. Saint Jean Baptiste (Dionise Matthieu?, sculpteur). La terre est ocre clair. La croix est en bois. Tout comme la statue de Saint Jean-Baptiste conservée dans la même église, cette sculpture peut être rapprochée de la production du sculpteur manceau Matthieu Dionise, actif autour de 1600. La polychromie date sans doute du XIXème siècle. Église paroissiale Saint-Christophe.
9. Rouez en Champagne. Saint Jean Baptiste, statue en terre cuite du mur occidental, œuvre du sculpteur manceau Noël Mérillon (XVIIème siècle). Saint Jean-Baptiste désigne ostensiblement l’agneau qui se trouve à ses pieds ou qui est posé sur un tronc d’arbre à son côté. Église Saint Martin.